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« Les papiers grattés débutent en 1996
; seulement deux ou trois grands morceaux de papiers (très peu travaillés)
sont collés à même la toile crue puis recouverts d’une bonne couche
de peinture acrylique. Un grattage énergique de cette surface peinte,
jusqu’au papier voir jusqu’à la toile précède l’arrachage petits morceaux
par petits morceaux à la pointe de ce « trop plein ». Cette technique
entame le travail de soustraction, d’évidement qui se poursuivra dans
les papiers pelés » Dominique Digeon 9/97
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